Marilyn Monroe nous a quitté il y a 45 ans, le 5 août 1962.
J’ai appris ici que les fioles ayant contenu les médicaments de Marilyn Monroe viennent d’être vendus aux enchères, mis à prix entre 2000 et 3000 € pièce.
Je trouve cela morbide. Est-ce vraiment ce que l’on souhaite garder d’elle ? Non, ce que l’on garde d’elle ne se touche pas, et n’a pas de prix.
Je ne peux pas m’empêcher de clore ce billet en remarquant quelques-unes de ses phrases, qui auraient pu être prononcées par Oscar Wilde : « I don’t want to make money. I just want to be wonderful. », « I love to do the things the censors won’t pass. », « I am invariably late for appointments … sometimes, as much as two hours. I’ve tried to change my ways but the things that make me late are too strong, and too pleasing. »
Et une dernière phrase qui fait tout comprendre sur Marilyn Monroe et l’incompréhension courante face à son image, par Arthur Miller : « She was a poet on a street corner trying to recite to a crowd pulling at her clothes. »
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