Bienvenue dans l’enfer de Dante

Gratuitement, chez vous, vautré dans un fauteuil, commencez par le bois sombre et le vestibule, et visitez sans risque les 9 cercles grâce à la visite virtuelle de l’enfer !

Dante Inferno

En bon guide, Dante vous préviendra sur votre carte des entités présentes et des lieux célèbres, et un petit texte illustré vous informera sur les coutumes des lieux : gloutonnerie, gaspillage, vol, hérésie, … Naviguez sur le Styx, et accostez pour les journées portes ouvertes de Dis !

Arrivé au neuvième cercle, ne trichez pas ! Faites bien composter votre ticket par Monsieur S., maître des lieux, qui se fera un plaisir de vous accueillir à votre prochaine visite, si longue soit-elle !

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5 commentaires

  1. 15 juin 2007
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    Petit tour du proprio en vue d’un futur achat?…

  2. 15 juin 2007
    Répondre

    Mouarf… j’ai vraiment des progrès à faire en anglais…
    J’aimerai savoir lire ça et comprendre à la première lecture… autrement je perds mon courage

  3. lapin fou
    16 juin 2007
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    J’ai toujours aimé lire lewis Carroll, je le préfère à dante…

    et pour toutes celles qui ont difficulté en Anglais

    Jabberwocky

    ‘Twas brillig, and the slithy toves
    Did gyre and gimble in the wabe:
    All mimst were the borogroves,
    And the mome raths outgrabe.

    "Beware the Jabberwock, my son!
    The jaws that bite, the claws that catch!
    Beware the Jubjub bird, and shun
    The frumious Bandersnatch!"

    He took his vorpal sword in hand:
    Long time the manxome fow he sought–
    So he rested by the Tumtum tree,
    And stood awhile in thought.

    And, as in uffish thought he stood,
    The Jabberwock, with eyes of flame,
    And whiffling through the tulgey wood,
    And burbled as it came!

    One, two! One, two! And through andthrough
    The vorpal blade went snicker – snack!
    He left it dead, and with its head
    He went galumphing back.

    And hast thou slain the Jabberwock?
    Come to my arms by beamish boy

  4. 17 juin 2007
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    Mlle E >> L’enfer, c’est pas topy topy, y’a pas la clim. Et en plus y’a pas un chat noir : dans The Tempest, Shakespeare écrit Hell is empty, and all the devils are here. Pour ma part, j’ai toujours aimé compléter avec l’opposé : le paradis est vide, et tous les anges sont ici.

    Lou >> et là ce n’est en effet pas de l’anglais très courant…

    lapin fou >> ouch, là je ne comprends pas grand chose ! ;-)

  5. lapin fou
    17 juin 2007
    Répondre

    C’est normal, c’est un peu compliqué, et je suis un peu fou

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